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68 chercheurs algériens dans le prestigieux classement de Stanford, et ils travaillent en Algérie

68 chercheurs algériens dans le prestigieux classement de Stanford, et ils travaillent en Algérie

C’est incontestablement un brevet de satisfecit pour l’enseignement supérieur et la recherche en Algérie, une consécration mondiale. 68 chercheurs et universitaires algériens brillent dans le prestigieux classement TOP 2% mondial établi par la célèbre université américaine de Stanford. Et le plus gratifiant dans cette affaire c’est que les primés servent dans les universités algériennes.

Ce rapport annuel cible les 2% de chercheurs dont les travaux sont récurrents dans les études et recherches universitaires et articles scientifiques à travers le monde, toutes disciplines scientifiques confondues. Une pléthore d’universités algériennes s’illustrent dans ce classement : M’sila, Bouira, Chlef, Blida, Béjaïa, Sidi Bel-Abbès, Oum El Bouaghi, Sétif, Annaba, Tiaret…

C’est la preuve, s’il en fallait, que les chercheurs et universités algériens ont fait des progrès fulgurants, grâce aux nouvelles méthodes dans la recherche scientifique et à leur efficience, aux progrès en matière de matériel didactique, aux moyens techniques à la disposition des enseignants, etc.

On a coutume d’évoquer les exploits des scientifiques algériens installés un peu partout dans le monde, notamment en Europe, en Amérique du Nord et plus récemment dans les pays du Golfe ; mais on parle peu des prouesses signées par les chercheurs algériens dans les universités algériennes. Avec le classement de cette université américaine de renom la réputation des chercheurs opérant en Algérie est faite…

Le classement 2024 de Stanford montre l’étendue des avancées dans différentes spécialités, parmi les plus cotées au monde. C’est l’université de M’sila qui émerge le plus dans ce classement, avec 5 chercheurs cités : les professeurs Bouarissa, Berri, Chouder, Houssini et Maireche. L’université de Blida affiche deux talents, les professeurs Kenzi et Moulay.

A noter que les professeurs Mouni Lotfi (Bouira), Bergout (Batna), Djaouadi (Tiaret), Triki (Annaba), Arras (Sétif), Rekioua (Bejaia) et plusieurs dizaines de scientifiques sont également mentionnés dans ce prestigieux classement international. C’est la première fois que l’enseignement supérieur algérien brille autant dans le classement, une histoire qui n’en est qu’à ses débuts manifestement.

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