President of the Tunis section of the Tunisian Bar Association Abderrazak Kilani gives a speech during a meeting with Tunisian lawyers as they show their solidarity with the residents of Sidi Bouzid on December 29, 2010 in Tunis following days of rioting in Tunisia by mostly jobless and frustrated young people protesting violently against the government. Unrest has gripped the central Sidi Bouzid region since the attempted suicide on December 17 of a 26-year-old university graduate, who was forced to sell fruit and vegetables on the streets to make ends meet. AFP PHOTO FETHI BELAID
S’exprimant en marge de la conférence de presse du comité de défense des députés, l’ancien bâtonnier des avocats Abderrazek Kilani a annoncé que cet événement a été organisé pour éclairer l’opinion publique et pointer la régression des droits et des libertés dans le pays.
Kilani a rappelé que 7 députés ont été convoqués vendredi dernier par les forces sécuritaires pour leur participation à une séance plénière consacrée à l’annulation des mesures exceptionnelles et ce, conformément à leurs prérogatives garanties par la loi.
” Les accusations portées à l’encontre des députés sont passibles de la peine de mort. Après la dissolution du Parlement, le pays est devenu sans institutions” a t-il déclaré dénonçant la comparution des civils, des députés, des journalistes et des activistes devant les tribunaux militaires.
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