In June 7th, 2014: the Islamist party Ennahdha celebrates its 33rd anniversary on place of the Kasbah in Tunis. More than 3000 activists are attended what looks like a political meeting, a music and a speech of the founder and the president of the party Rached Ghannouchi. (Photo by Nicolas Fauqu/Corbis via Getty Images)
Le Mouvement Ennahdha a dénoncé les campagnes de dénigrement, les incitations à la haine et les actes de violence menées à l’encontre du parti, ses sympathisants et ses dirigeants ainsi que la dénonciation d’un délit imaginaire qui étaient à l’origine des incendies dans ses sièges le 25 juillet dernier.
Le parti a annoncé qu’il poursuivra en justice toutes les parties ayant diffusé de fausses informations appelant le pouvoir judiciaire à trancher rapidement ces affaires.
Selon la même source, le fait de tarder à réagir sur certaines affaires juridiques à poussé certaines personnes à accuser le dirigeant du parti Noureddine Bhiri d’être derrière le décès d’un cadre sécuritaire et de l’impliquer dans une affaire d’octroi de permis de taxis.
” Noureddine Bhiri n’a aucun lien avec cette affaire” lit-on dans le même communiqué.
Le parti a appelé le ministère de l’Intérieur à apporter des éclaircissements sur ce sujet exprimant sa crainte sur l’existence d’un plan pour préparer l’opinion publique à l’annonce de la mort de Bhiri.
Il a revendiqué dans le même cadre la libération de l’ancien ministre de la Justice.
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