Le patronat algérien respire profondément, à nouveau. Le président de la République a décidé, dans une optique d’instauration d’un climat de confiance chez les hommes d’affaires et favoriser les investissements, de faire cesser la campagne nationale qui dure depuis des années qui poursuit sous la dénomination du contrôle fiscal, les hommes d’affaires pour les forcer à rembourser les biens spoliés et cachés à l’étranger.
Une source auprès du patronat algérien a annoncé que Tebboune a décidé de geler les activités de la commission de contrôle et de redressement fiscal. Il a ordonné l’arrêt de toutes les poursuites à l’encontre des hommes d’affaires, et a donné la possibilité aux hommes d’affaires sous le coup de condamnation, de faire des recours devant la justice.
Selon la même source, Tebboune se serait rendu compte que cette commission a, quelque peu, dévié de ses méthodes en adoptant une sorte de harcèlement à l’encontre des hommes d’affaires. Ce qui contredit ses directives et qui est en contradiction avec ses objectifs de favoriser les entreprises algériennes, garantes de création d’emplois.
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