La présidente de la commission parlementaire des affaires de la femme, Amira Charfeddine a déclaré aujourd’hui sur les ondes d’une radio privée que les droits des femmes sont censés être universels, alors qu’en Tunisie ils servent de moyens de chantage politique.
Par ailleurs, la députée n’a pas nié l’idée de revoir le projet de loi qui concerne l’égalité successorale entre les deux sexes, lors de cette année parlementaire.
Amira Charfeddine a en effet précisé qu’il était nécessaire de garantir les droits financiers de la femme pour parvenir à diminuer le taux de violence à son encontre.
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