En réponse à à la déclaration faite par le président de la République Kais Saied le 28 septembre 2020, dans laquelle le chef de l’Etat insinue que l’assassin de Rahma devrait être exécuté, Amnesty International a rappelé que la Tunisie était liée par certaines conventions internationales.
Dans un communiqué rendu public le 28 septembre 2020, l’ONG a indiqué que l’Etat tunisien « doit continuer à honorer ses engagements envers les Nations Unis, en ce qui concerne la non-exécution des sentences capitales », comme un premier pas avant « l’abolition définitive de la peine de mort ».
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