Lawyer and human rights defender Chawki Tabib, one of the contestants for the position of Tunisian Prime Minister gestures as he speaks in his office on December 4, 2013 in Tunis. Tabib, who turns 50 at the end of December, had been repeatedly proposed for the premiership by the Popular Front, a leftist grouping of opposition parties, during crisis talks with the ruling Islamists aimed at breaking months of political deadlock. AFP PHOTO / FETHI BELAID / AFP PHOTO / FETHI BELAID
« Toutes les propriétés en possession de ma femme lui ont été transmis par héritage », a déclaré l’ancien président de l’Instance nationale de lutte contre la corruption.
« Les contrats de vente et d’achat la concernant étaient antérieurs à ma nomination à la tête de l’Instance nationale de lutte contre la corruption en janvier 2016 et même à notre mariage en novembre 2017. Certains de ses contrats remontent à plus de vingt ans », a-t-il affirmé dans un post publié sur sa page officielle.
Ces informations sont vérifiables à travers l’accès aux bases de données de certains services administratifs ou à travers les déclarations des biens que ma femme et moi-même avons soumis à la Cours des comptes, ou via le dossier de plainte déposée par Maher Zid qui a accusé ma femme de blanchiment d’argent, et qui s’est scellée avec un non-lieu, a-t-il ajouté.
Quoi qu’il en soit la valeur de mes biens et de ceux de mon épouse est largement inférieure au montants publiés sur les réseaux sociaux (100 milliars), a-t-il souligné.
Il est à noter qu’à l’issue du discours du président de la République Kais Saied datant du 2 septembre 2021, certaines pages ont estimé que la femme de Chawki Tabib est la visée par ses déclarations.
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