La cheffe du gouvernement Najla Bouden a annoncé que son gouvernement a commencé d’élaborer un projet d’accord avec le Fonds International Monétaire (FMI) , sur un nouveau programme pour l’amélioration de la note de la souveraineté du pays.
En marge de l’ouverture des travaux de la 35e édition des journées de l’entreprise, Bouden a ajouté que les efforts se poursuivent toujours pour sauver l’économie tunisienne. Elle a également insisté sur l’importance d’un contrat social.
Dans un communiqué rendu public le 10 décembre 2021, les chefs de mission des ambassades d’Allemagne, du Canada, des Etats-Unis d’Amérique, de France, d’Italie, du Japon, du Royaume-Uni, et de la Délégation de l’Union européenne en Tunisie, ont déclaré leur ferme soutien au peuple tunisien dans « son aspiration à une gouvernance efficace, démocratique et transparente ».
Les bonnes nouvelles pour l’économie du pays sont rares en ce moment. En attendant la fumée blanche entre la cheffe du gouvernement, Najla Bouden et le FMI, il y a cette annonce du ministre de l’Economie et de la Planification, Samir Saïed : la BEI s’engage à décaisser 150 millions de dinars pour le renouvellement de la flotte du TGM (Tunis-Goulette-Marsa).
Le vice-président de la Banque européenne d’Investissement (BEI), Ricardo Mourinho Felix, n’a pas débarque à Tunis les mains vides. Il a déclaré au terme de son entretien avec Samir Saied, ce 10 décembre, que la BEI ne lâchera pas la Tunisie. Cette dernière peut compter sur les Européens pour financer des projets dans l’infrastructure, l’éducation, les transports…
Le vice président de l’ARP, chargé de la communication, Maher Medhioub, a annoncé, ce dimanche que l’ARP est en réunion permanente. Et ce, depuis le début de la dernière session en octobre 2020. Et qu’il est envisageable d’organiser une assemblée générale de l’ARP, dès l’achèvement des dispositions à prendre, en vue d’assurer les conditions requises, comme la résolution des problèmes de connectivité de certains députés. Sachant qu’il est attendu que cette séance se déroule à distance, comme le prévoient les dispositions exceptionnelles prises par l’ARP dans le cadre des règles de prévention du covid.
En marge d’une conférence de presse tenue vendredi , la présidente du Parti destourien libre (PDL) Abir Moussi a annoncé que le parti organisera un sit-in devant le siège de l’Union des savants musulmans à partir du 14 décembre.
Un nouveau parti politique dénommé “Arraya Wataniya” a été récemment formé, d’après ce qui a été publié dans le JORT.
Ce parti a été formé par Mabrouk Korchid, Ahmed Iyadh Ouederni et Zied Jlalia.
Ci-dessous les points phares du projet du parti:
Samira Sifi, la sœur de Sami Sifi, l’homme qui se serait auto-immolé à l’intérieur du siège d’Ennahdha, a démenti, ce vendredi, sur les ondes d’une radio privée, toutes les déclarations d’Ennahdha à propos de son frère et de son prétendu suicide.
Elle a assuré que son frère n’était pas allé au siège d’Ennahdha pou s’y suicider, mais qu’il a été a piégé par quelqu’un qui l’a appelé au téléphone pour l’y inviter à rencontre Rached Ghannouchi. Elle a ajouté que le piège a été très bien organisé pour attirer son frère et maquiller ce qui s’est passé en suicide.
Le mouvement « Citoyens contre le coup d’Etat » a annoncé sur sa page le 11 décembre 2021, qu’il tiendra une série de manifestations contre “le système 117” devant le théâtre municipal de Tunis, à 10H00 17 décembre 2021 et jusqu’au 14 janvier.
Le secrétaire général régional de l’UGTT à Sousse, qui avait annoncé, ce samedi, au début des travaux de l’instance administrative régionale, qu’il a été décidé d’observer une grève générale régionale, à la date du 6 janvier, pour protester contre la marginalisation et la stigmatisation de la région, a annoncé, le même jour, à la fin des travaux de l’instance que cette grève générale a été reportée au 13 janvier, sans préciser les raisons de ce report.
Commentant les propos du président de la République, Kais Saied qui a qualifié la magistrature comme une « fonction au sein de l’Etat » et que la « Constitution de 2014 n’est plus applicable », l’Association des Magistrats Tunisiens a annoncé dans un communiqué rendu public le 12 décembre 2021, son rejet total de ces dires.
Notant que le pouvoir judiciaire est une autorité indépendante qui garantit l’administration de la justice, la suprématie de la Constitution, l’état de droit et la protection des droits et libertés, tels que stipulés à l’article 102 de la Constitution.
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