L’ancien diplomate Ahmed Kedidi a annoncé la naissance d’un nouveau projet politique nommé “l’alternative nationale” qui a pour objectif de surmonter la conjoncture actuelle.
Après la prolongation des délais de dépôt des candidatures aux législatives, l’ISIE a mis en avant l’ensemble de modifications apportées au calendrier électoral.
La présidente du PDL Abir Moussi dépose des plaintes en cascade pour dénoncer les agressions qui ont été menées contre les sympathisants du parti.
Malgré la grève des enseignants vacataires, la fédération de l’enseignement de base rassure et nie l’éventualité d’une année blanche. Cependant, elle s’attache à l’organisation d’une journée de colère pour défendre les professionnels du secteur.
Le membre de l’UTAP, Faouzi Zayani révèle que le stock stratégique de la Tunisie en lait suffit à peine à 20 jours de consommation.
L’ancien diplomate Ahmed Kedidi a annoncé la naissance d’un nouveau projet politique nommé ” l’alternative nationale”.
Des anciens Chefs du gouvernement, ministres, activistes politiques et des diplomates ont adopté ce projet qui a pour objectif de surmonter la conjoncture actuelle dans le pays notamment sur les plans financier et socio-économique.
Ces responsables ont mis en avant les grandes lignes de cette initiative qui portent sur la politique, la société, l’économie et le développement.
Dans une interview accordée à une radio privée, l’ancien ministre de l’Education Hatem Ben Salem a déclaré qu’il était favorable à un régime présidentiel.
Pour Ben Salem, il est important d’instaurer la Cour constitutionnelle et mettre en place un Parlement. Selon ses dires, la loi électorale et les législatives prévues pour le 17 décembre 2022 engendreront une mascarade.
L’ ancien président de l’Assemblée des représentants du peuple, Mohamed Ennaceur, a considéré ce mardi, que la Tunisie a besoin de solidarité nationale pour surmonter sa crise.
“Le dialogue est nécessaire pour rapprocher les points de vue et résoudre les différends, mais il faut d’abord la volonté d’accepter l’autre et de faire passer l’intérêt commun avant tout intérêt particulier”, a-t-il indiqué sur les ondes d’une radio.
L’ISIE a publié, ce mardi, les modifications apportées au calendrier électoral, suite au report du délai de dépôt des candidatures accordé aux candidats n’ayant pas pu déposer leur dossier à temps.
De ce fait, les électeurs pourront mettre à jour leurs données du 28 octobre au 20 novembre. La publication de la liste définitive des électeurs se fera dans un délai ne dépassant pas le 24 novembre. L’annonce de la liste définitive des candidats dans un délai ne dépassant pas le 22 novembre. Le début de la campagne électorale des candidats à l’étranger sera le 23 novembre à partir de zéro heure et se poursuivra jusqu’au 13 décembre à zéro heure.
L’ex-députée Fatma Mseddi a annoncé, ce mardi, à travers sa page facebook, qu’elle a été auditionnée par la brigade spécialisée de la garde nationale à El Aouina, en tant que plaignante dans l’affaire de l’appareil sécuritaire secret d’Ennahdha.
Pour rappel, Mseddi, fait partie des 41 ex-députés qui avaient porté plainte contre des responsables sécuritaires et politiques, pour la constitution d’un appareil sécuritaire secret.
La présidente du PDL Abir Moussi a dénoncé les informations qui ont été relayées par certains médias sur la détérioration de son état de santé sur fond de sa grève de la faim.
Moussi a indiqué que les forces sécuritaires sont intervenues pour encercler le lieu du mouvement protestataire et installer des barrières de sécurité. Elle a considéré que certains médias ont caché la vérité révélant qu’elle a été “torturée” et maltraitée.
Le dirigeant du PDL Mohamed Karim Krifa a annoncé qu’une plainte a été déposée auprès du Haut-Commissariat des Nations Unies aux droits de l’homme. Le responsable assure que le comité de défense suivra de près l’état d’avancement de ce dossier.
D’autres plaintes seront déposées contre sera déposée contre de nombreux responsables dont le président de la République Kais Saïed, le ministre de l’Intérieur Taoufik Charfeddine, le gouverneur de Tunis Kamel Fekih pour diffusion de fausses informations, torture, violence, perturbation de l’activité partisane et violation du principe de la liberté de circulation.
La présidente du Parti destourien libre (PDL) Abir Moussi a annoncé qu’un mouvement protestataire sera prochainement organisé devant le siège de la HAICA.
Elle explique que certains chroniqueurs ont diffusé de fausses informations sur la dernière manifestation du parti.
La date et l’heure de la manifestation seront communiquées ultérieurement, déclare Abir Moussi.
La cour d’appel a reporté ce mardi, l’examen de l’affaire dans laquelle l’ex-député Rached Khiari avait été condamné en première instance à huit mois de prison, suite à une visite alors qu’il était député au centre des malvoyants de Ben Arous, au cours de laquelle il a publié des images des enfants ainsi que leurs données personnelles.
Dans un communiqué officiel, le ministère des Technologies de la communication a expliqué que son compte Twitter n’a pas été bloqué pour non-respect des règles de conduite du réseau social.
Le ministère indique, en effet, que son compte a été suspendu à titre de précaution suite à la détection d’une tentative de piratage des comptes gouvernementaux.
Il a, par ailleurs, précisé que le compte en question a été par la suite réactivé.
Le secrétaire général du syndicat de l’enseignement de base, Nabil Haouachi, a écarté, ce mardi, toute possibilité d’année blanche, malgré la grève des enseignants qui se poursuit depuis la date de la rentrée scolaire.
Il a assuré que les enseignants grévistes s’engagent à rattraper leur retard en assurant des heures supplémentaires dès qu’ils auront atteint un accord avec le ministère. Il a ajouté qu’ils sont sûrs qu’ils vont avoir gain de cause dans leurs revendications.
Haouachi a annoncé qu’une journée nationale de la colère sera organisée par les enseignants à partir du 1er novembre 2022, précisant qu’ils réclament aussi le dialogue et la négociation avec toutes les parties concernées par leurs problèmes.
Le syndicaliste a souligné lors d’une conférence de presse que le gouvernement a ignoré leurs demandes et qu’ils ont publié un communiqué pour annoncer leurs mouvements de protestation.
Imed Khlifi, secrétaire général adjoint du syndicat général des médecins, pharmaciens et dentistes de la santé publique a indiqué que les hôpitaux publics connaissent depuis un certain temps une perturbation d’approvisionnement en médicaments.
Khlifi a expliqué que cette perturbation touche à peu près tous les types de médicaments, assurant que le ministère de la Santé pense à fournir un financement supplémentaire pour les médicaments contre les maladies chroniques.
Le bâtonnier, Hatem Mziou a révélé, ce mardi, sur les ondes d’une radio privée, l’identité du responsable du site proposant une assistance juridique pour ceux qui veulent divorcer.
Mziou a expliqué qu’il s’agit d’un jeune homme qui résidait aux USA et qui entendait suivre l’exemple américain, là où la loi permet la publicité en matière d’assistance judiciaire.
Le membre de l’UTAP, Faouzi Zayani a annoncé que le stock stratégique de la Tunisie en lait suffit à peine à 20 jours de consommation. Il a ajouté que l’Etat a abandonné toutes les filières agricoles, ce qui a conduit à leur écroulement l’une après l’autre.
Zayani a déploré qu’avec cette politique, l’Etat a habitué le tunisien aux pénuries et au rationnement.
Des milliers de jeunes Tunisiens quittent leur pays à la recherche d’opportunités de travail dans de nombreux pays occidentaux à l’instar de la France, l’Italie, l’Allemagne, l’Espagne (…).
Dans ce contexte, la rédaction de Tunisie Numérique est allée au-devant des tunisiens, dans la rue, pour recueillir leurs avis, concernant la hausse vertigineuse du phénomène de la migration de jeunes. Malgré la différence d’âge entre les personnes interrogées, elles ont convenu à l’unanimité qu’elles envisageaient sérieusement l’immigration et attendaient pour avoir l’opportunité de quitter le pays.
Tunisie Numérique a mené une série d’interviews auprès des familles tunisiennes pour savoir comment elles gèrent leurs budgets en ces temps de crise que traverse le pays.
Ces tunisiens proviennent de différentes classes sociales, sont d’âges différents et habitent dans des quartiers aussi bien huppés que populaires. Ils ont accepté volontairement de répondre de manière spontanée et anonyme aux questions de Tunisie Numérique. Les récits ont été retranscrits tels quels.
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