Diaspora

France : Prison ferme et bracelet électronique pour la favorite de la présidentielle, l’extrême droite paye cher

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Une décision de justice qui sone le glas des ambitions politiques de la double finaliste des deux dernières élections présidentielles (2017 et 2022). Marine Le Pen a été sévèrement condamnée ce lundi 31 mars au matin pour détournement de fonds publics dans l’affaire des assistants parlementaires du Parlement européen. La cheffe de file du Rassemblement national (RN) a écopé de 4 ans de prison, dont 2 ferme sous bracelet électronique…

Mais le pire pour elle sera sans doute sa condamnation à 5 ans d’inéligibilité avec exécution provisoire. En l’état toutes ses chances de prendre part à la présidentielle de 2027, pour laquelle elle était donnée grand vainqueur – par les sondeurs -, volent en éclats. La championne de l’extrême droite, qui a quitté la salle avant le jugement sans dire un mot, garde toujours le silence. D’autres ex-eurodéputés RN ont également été condamnés, dont l’ex-compagnon de Mme Le Pen, Louis Aliot et Nicolas Bay.

 

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