BERLIN, GERMANY - JANUARY 19, 2020: UK Prime Minister Boris Johnson and Russia's President Vladimir Putin (C L-R) talk during a meeting on the sidelines of an international summit on Libya; the summit is to discuss efforts to achieve peace and reconciliation between Libya's government and General Haftar; right: the Russian president's adviser Yuri Ushakov. Alexei Nikolsky/Russian Presidential Press and Information Office/TASS Ãåðìàíèÿ. Áåðëèí. Ïðåìüåð-ìèíèñòð Âåëèêîáðèòàíèè Áîðèñ Äæîíñîí, ïðåçèäåíò Ðîññèè Âëàäèìèð Ïóòèí (â öåíòðå ñëåâà íàïðàâî) è ïîìîùíèê ïðåçèäåíòà ÐÔ Þðèé Óøàêîâ (ñïðàâà) âî âðåìÿ áåñåäû íà ïîëÿõ Áåðëèíñêîé êîíôåðåíöèè ïî Ëèâèè. Àëåêñåé Íèêîëüñêèé/ïðåññ-ñëóæáà ïðåçèäåíòà ÐÔ/ÒÀÑÑ
Le Cabinet du Premier ministre britannique Boris Johnson a déclaré dans un communiqué publié sur sa page dimanche, qu’il s’est adressé dans un discours aux dirigeants du Groupe des Sept.
A l’issue de son discours, ils ont convenus que le monde devait intensifier la pression économique sur le président russe Vladimir Poutine de toutes les manières possibles.
“Le monde doit soutenir l’Ukraine plus, et plus rapidement”, a ajouté le bureau de Johnson après un appel téléphonique auquel participait également le président ukrainien Volodymyr Zelensky.
“L’Ukraine doit acquérir des équipements militaires qui lui permettront non seulement de tenir le territoire, mais d’en reprendre le contrôle”, a déclaré Johnson aux dirigeants, selon son bureau.
Laissez un commentaire