Aux yeux du célèbre hebdomadaire britannique “The Economist”, l’Italie a tous les atouts pour être élue «pays de l’année».
Le magazine a souvent critiqué l’Italie pour avoir choisi des dirigeants, tels que Silvio Berlusconi, qui auraient pu suivre l’admonition de la chanson gagnante de l’Eurovision Zitti e Buoni.“En raison d’une mauvaise gouvernance, les Italiens étaient plus pauvres en 2019 qu’ils ne l’étaient en 2000. Pourtant, cette année, l’Italie a changé”, détaille le magazine.
Dans son article, The Economist, évoque que tout le mérite en revient à Mario Draghi, devenu Premier ministre (ou, pour être tout à fait précis, Président du Conseil des Ministres), en février dernier.
Il voit en l’ancien président de la BCE un responsable politique “compétent et respecté à l’échelle internationale”. L’hebdomadaire britannique envoie même ses félicitations à l’ensemble du gouvernement Draghi.
Sur un autre volet, il tire aussi son chapeau à quelques autres pays, qui n’ont pas été loin de damer le pion à l’Italie comme par exemple : les Samoa, la Moldavie, la Zambie, la Lituanie.
A noter que chaque année, le journal en question choisit «un pays, de n’importe quelle taille, qui a changé significativement pour le mieux au cours des douze derniers mois, ou rendu le monde meilleur».
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