“Ennahdha et ses alliés nous ont amenés à accepter un dictateur et un coup d’État pour réformer la situation du pays”, a déclaré le député du Courant Démocrate, Nabil Hajji dans une déclaration accordée à Tunisienumerique aujourd’hui, jeudi 23 septembre 2021.
Hajji a ajouté qu’il semble que Kais Saied ne soit pas doué pour gérer les choses, notamment le bilan des 60 jours après le 25 juillet, d’autant plus qu’il a nommé auparavant Hichem Mechichi en tant que Chef du gouvernement.
Notre interlocuteur a également souligné la nécessité de penser au-delà du mandat de Kais Saied à la lumière de l’application de cette constitution, qui pourrait offrir à un tyran la possibilité de prendre le pouvoir absolu, indiquant que la dictature est nécessairement associée à la corruption.
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