La neuvième chambre d’accusation de la Cour d’appel de Tunis a décidé de reporter le jugement de deux affaires contre Abir Moussi, présidente du Parti Constitutionnel Libre, au 31 juillet. En même temps, la demande de libération immédiate, soumise par la défense, a été rejetée, a déclaré l’avocat Nafi al Aribi.
La première affaire, renvoyée par la Cour de cassation, est connue médiatiquement sous le nom de “Affaire du bureau d’ordre à la présidence de la République”. Dans cette affaire, le tribunal a décidé de reporter l’examen du dossier à la séance du 31 juillet, tout en maintenant Abir Moussi en détention.
La deuxième affaire concerne une plainte déposée par l’Instance Supérieure Indépendante pour les Élections contre la présidente du Parti Constitutionnel Libre. Elle est accusée d’avoir utilisé des réseaux et des systèmes d’information pour produire et diffuser de fausses nouvelles dans le but de porter atteinte à la sécurité publique. Cette affaire a été renvoyée à la chambre criminelle.
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