Dans un post publié hier, le professeur de droit public Slim Laghmani a déclaré que le dialogue national auquel appelle le président de la République Kais Saied semble se résumer à un simple formulaire.
Les “jeunes” doivent remplir les formulaires dans lequel ils répondent à des questions relatives aux régime politique et électoral avant de les envoyer, a-t-il expliqué.
Ensuite, les autorités régionales font la “synthèse” des réponse et envoient à leur tour les résultats aux autorités centrales, a-t-il ajouté, estimant que cela ressemble un peu à une sorte de référendum.
Qui va poser les questions? et qui va faire les soi-disant synthèses? s’est-il demandé, sous-entendant que les résultats affichés ne correspondront pas forcément aux réponses des citoyens.
Que se passe-t-il en Tunisie?
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