Dans des posts publiés sur son compte twitter, l’ancien ambassadeur des Etats-Unis à Tunis Gordon Gray a commenté la démission de la Cheffe du cabinet présidentiel Nadia Akacha.
Gray a dit qu’il s’agit d’un développement intéressant dans le pays.
Rapportant un article publié par Reuters, Gray a indiqué que Akacha était contre la décision prise par le ministère de l’Intérieur relative à la mise en retraite forcée de 6 hauts responsable dont un ancien chef de renseignements.
L’analyste politique, Slaheddine Jourchi a indiqué que Akkacha a bénéficié d’un positionnement très important , remarquable et même direct dans le gouvernement.
Et d’assurer que sa démission pourrait avoir des répercussions sur la composition du gouvernement, au cours de la période à venir.
Pour sa part, la présidence du parti l’Indépendance Rym Mourali a appelé Akacha à sortir de son silence et évoquer les vraies raisons de la démission pour mettre fin aux interprétations. De son côté, le président d’Aarraya Al Watania Mabrouk Korchid est revenu sur la lettre de démission de Nadia Akacha critiquant ” la mauvaise écriture et le langage superficiel” ainsi que la signature de l’ancienne responsable.
Il a aussi souligné que son poste et le tampon du cabinet présidentiel ne figurent pas dans la lettre estimant que le document a été probablement rédigé par Akacha en dehors de son bureau ou depuis l’étranger.
Le ministre de l’Intérieur, Taoufik Charfeddine a reçu hier au siège du ministère, l’ambassadeur de la République fédérale d’Allemagne en Tunisie, M. Peter Prügel.
Le renforcement de la coopération tuniso-allemande dans le domaine de la sécurité et les moyens de la faire progresser ont été les axes les plus importants de cette rencontre, notamment la coopération existante dans le cadre du mécanisme du G7 « élargi », dans lequel la partie allemande mène la danse au nom des parties étrangères.
Abid Briki, secrétaire général du “Mouvement Tunisie en avant” , a estimé que la situation de la Tunisie s’est dégradée après 2011, suite au « recyclage » de l’ancien système en suivant les mêmes orientations et en adoptant les mêmes mécanismes qui n’ont fait qu’approfondir la crise socio-économique.
Dans une déclaration faite à une radio privée, Briki a précisé que “C’est grâce aux mouvements sociaux et la démarche suivie par le président Saied que le processus du 25 juillet a été entamé”, a-t-il dit.
Le Syndicat général des médecins, pharmaciens et dentistes de la santé publique, relevant de l’Union générale tunisienne du travail a organisé hier une grève en vertu de laquelle toutes les activités médicales, y compris les centres de vaccination, seront suspendues, à l’exception des cas urgents et des opérations de dialyse.
Il convient de rappeler que ce mouvement a été organisé pour mettre en avant un nombre de revendications.
Jihène Rhimi, porte-parole officielle des enseignants vacataires, a annoncé qu’il est prévu qu’une réunion se tiendra entre les représentants de la profession et les dirigeants de l’Union générale tunisienne du travail (UGTT).
Dans une déclaration accordée à “Tunisie Numérique”, Rhimi a expliqué que la rencontre aura lieu soit avec le secrétaire général de l’UGTT, Noureddine Taboubi, soit avec le secrétaire général adjoint Samir cheffi.
Et d’assurer que tous les enseignants vacataires appellent à la régularisation de leurs situations assurant que toutes leurs revendications sont “légitimes”.
La présidente de l’Association des familles des martyrs de l’épopée de Ben Guerdane du 7 mars, Besma Jouili a assuré à Tunisie Numérique, que les familles des martyrs et des blessés n’ont pas été indemnisées par le gouvernement tunisien et ce depuis six ans.
Pour rappel, les évènements de Ben Guerdane ont été déclenchés, le 7 mars 2016, à l’aube, par une attaque terroriste ciblant les points stratégiques en vue de prendre possession de la ville et y instaurer un “Emirat de Daech”.
Dans une déclaration accordée à Tunisie Numérique, le membre du comité scientifique de lutte contre le Covid-19 Mahjoub Ouni est revenu sur l’évolution de la situation épidémiologique dans le pays.
Il a annoncé que la situation sanitaire est marquée par la propagation rapide du variant du Covid-19 “Omicron” précisant que la vague à laquelle fait face le pays va durer pendant 6 semaines.
Ouni a assuré que la pandémie subira une légère régression à partir de la 2ème ou la 3ème semaine du mois de février faisant savoir que cela reste tributaire du respect du protocole sanitaire et des règles barrières.
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