Le juge d’instruction en charge du dossier du charlatan Belgacem, qui est accusé de viol sur des centaines de femmes tunisiennes, a ordonné l’interdiction de tout traitement médiatique de l’affaire ou de ses composantes, notamment, tout ce qui pourrait nuire à la femme tunisienne et à son image.
Le juge d’instruction a laissé au parquet de L’Ariana le soin de fixer les peines que pourraient encourir tous ceux qui ne respectent pas cette interdiction.
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