Le directeur général des forêts, Muhammad Naoufel Bin Haha, a déclaré que les évaluations de l’année dernière des zones forestières brûlées ont montré l’incendie d’environ 56 000 hectares, y compris des zones qui ont été replantées et d’autres dans lesquelles l’écosystème a été restauré de manière naturelle, tandis que d’autres zones ont nécessité l’intervention de l’administration et des composantes de la société civile, pour une surface d’environ 18 mille hectares, ce qui n’est pas un petit chiffre, selon lui, surtout à la lumière des changements climatiques que traverse le pays.
Il a expliqué que les causes des incendies vont du changement climatique, comme les températures élevées, les vents forts et la présence d’autres incendies criminels.
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