Lawyer and human rights defender Chawki Tabib, one of the contestants for the position of Tunisian Prime Minister gestures as he speaks in his office on December 4, 2013 in Tunis. Tabib, who turns 50 at the end of December, had been repeatedly proposed for the premiership by the Popular Front, a leftist grouping of opposition parties, during crisis talks with the ruling Islamists aimed at breaking months of political deadlock. AFP PHOTO / FETHI BELAID (Photo credit should read FETHI BELAID/AFP/Getty Images)
Le président de l’Instance nationale de lutte contre la corruption (INLUCC), Chawki Tabib a déclaré, jeudi 13 août 2020, que les femmes tunisiennes ont pris la tête de secteurs importants et vitaux, tels que la santé, l’éducation, la justice et le secteur juridique, ainsi qu’au niveau des décisions politiques, des ministères et au sein du gouvernement.
Tabib a souligné que l’INLUCC appelle à soutenir ce rôle car “il a été révélé que les femmes sont moins corruptibles que les hommes et cet que indicateur doit être valorisé et exploité”.
En marge de sa participation à la célébration de la Journée nationale de la femme, organisée par le bureau régional de l’INLUCC et le bureau régional de l’Union tunisienne des femmes à Sousse, Tabib a poursuivi, que le pourcentage de femmes signalées soupçonnées de corruption s’élevait à seulement 3%, le considérant comme faible.
En revanche, il a indiqué que les femmes ne signalent pas la corruption et qu’environ 11% de ceux qui la signalent sont des femmes, considérant que c’est un chiffre faible qui doit évoluer.
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