Le professeur en droit, Amine Mahfoudh a assuré, ce mardi, que l’occasion est, en ce moment, propice pour déclarer la suspension de la constitution de 2014, et la dissolution du parlement.
Il a ajouté qu’on devrait mettre en place des mesures provisoires réglementant les pouvoirs dans le pays, en attendant la préparation d’une nouvelle constitution, par une commission de spécialistes, de façon à ce qu’elle soit pratique contrairement la celle de 2014 qui est très compliquée et dit la chose et son contraire.
Il a ajouté que cette nouvelle constitution devra être soumise au peuple par voie de référendum.
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