Rached Ghannouchi, leader of the Tunisian Islamist Ennahda party, checks his ballot behind a booth at a polling station in Ben Arous near the capital Tunis on May 6, 2018, as the country votes in the first free municipal elections since the 2011 revolution. - Tunisians head to the polls on May 6 in what is seen as another milestone on the road to democracy in the birthplace of the Arab Spring, despite muted interest in the poll as struggles with corruption and poverty continue. Though parliamentary and presidential votes have taken place since the fall of dictator Zine El Abidine Ben Ali, municipal polls have been delayed four times due to logistic, administrative and political deadlocks. (Photo by FETHI BELAID / AFP)
Lors de son intervention, aujourd’hui 25 novembre 2020, sur les ondes d’une radio privée, le journaliste Mourad Zeghidi a annoncé, que la situation actuelle du pays nécessite un dialogue national. Mais l’appel du président du Parlement, Rached Ghannouchi n’a rien à voir avec les vrais problèmes, a-t-il ajouté.
Selon ses dires, ni les manifestations régionales ni les difficultés que traversent le pays ne sont les préoccupations de Ghannouchi. C’est plutôt un agenda politique qui se cache derrière.
A titre de rappel, le Président de l’Assemblée des Représentants du Peuple, a appelé dans une interview télévisée le 24 novembre 2020, à un dialogue national pour discuter les dossiers sociaux-économiques et politiques.
Ce dernier, a également souligné que ce dialogue vise à trouver un consensus politique et social pour « aller de l’avant en dépassant les rancunes du passé».
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