Dans une déclaration accordée à l’agence TAP, le président du Conseil supérieur de la magistrature (CSM) Youssef Bouzakher, a estimé que la purge du pouvoir judiciaire se réalise dans un cadre institutionnel et conformément à la législation en vigueur.
Il a précisé que le CSM était déjà engagé dans la lutte contre la corruption, ajoutant que le ministère public devra commencer à lui confier des dossiers afin qu’il puisse exercer son rôle pleinement.
Il a par ailleurs souligné que la purge judiciaire par l’intermédiaire du pouvoir exécutif était contraire aux normes internationales, rappelant que ce processus a déjà été testé en 2012 mais sans donner lieu à des résultats positifs.
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